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Le marché boursier augmentera-t-il CONTINUELLEMENT ?

En tant qu’investisseurs, il existe une hypothèse selon laquelle, les marchés boursiers augmenteront continuellement, c’est-à-dire que pour une période allant de 20, 30, 40 ans ou même plus, il semblerait que nous obtiendrions à long terme des rendements positifs.
Toutefois, est-ce vraiment le cas ?
Pouvons nous investir sans crainte, en estimant que les marchés boursiers n’auraient de cesse de croître ?

Les ETF pour parier sur le marché

Quiconque investit en bourse sur le long terme à partir d’ETF, n’a pas besoin de vérifier la bonne santé des entreprises : en effet, l’investisseur achète un fonds qui est indexé à un indice boursier, c’est-à-dire, qui le réplique.

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Investir dans les ETF offre l’avantage considérable de ne pas avoir à se préoccuper de l’investissement dans la mesure où l’indice ne gardera que les entreprises saines financièrement, expulsant automatiquement les autres.

Une entreprise a une durée de vie limitée, elle peut être centenaire, elle connaîtra nécessairement des hauts et des bas et par voie de conséquence, pourra se retrouver en difficultés et devoir sortir de l’indice alors que d’autres en meilleure santé y entreront.

COVID : Fin de la consommation et de l’investissement ?

Pour être considérée saine, l’entreprise doit pouvoir vendre ses biens ou ses services en toute liberté, ce qui n’a pas été le cas ces derniers temps à cause des différents confinements et fermetures forcées des commerces, dû à la crise du coronavirus qui a paralysé la consommation pénalisant lourdement des secteurs comme la restauration, l’hôtellerie, les voyages ou encore les loisirs, qui ont accusés de fortes pertes avec des croissances quasi nulle.

Le dynamisme de l’activité dynamique garantit la croissance, et celle-ci n’est pas prête de s’arrêter puisque nous sommes actuellement 8 milliards d’habitants sur Terre, et que l’estimation chiffre la population à 11 milliards d’ici l’année 2100. A cela s’joute, outre les pays développés, les hauts potentiels de croissance de nombreux autres en voie de développement.

L’importance de l’innovation sur l’investissement

En se développant, l’humanité voit émerger de nouveaux secteurs d’activité prometteurs comme ceux relatifs au développement durable et à l’écologie.
Ce sont donc de nouveaux vecteurs de croissances qui, utopiques hier, deviennent de plus en plus viables et rentables dans le futur.
Qui sait jusqu’où va aller la technologie et l’imagination de l’homme ?
Une bonne attitude à adopter pour avoir confiance dans le progrès humain; est d’étudier l’histoire afin de comparer ce qui a été, pour mieux envisager les perspectives de demain (comme en investissement).

La prime de risque pour l'achat d'actions

Lors d’achats d’actions, il faut tenir compte de la prime de risque.
Elle est une sorte de compensation pour le risque que l’on assume, c’est un retour sur investissement supplémentaire : nous prenons le risque de soumettre une grande partie de notre capital, aux fluctuations du marché, plutôt que de le laisser dormir sur un livret A, par exemple.
À partir du moment où l’on investit dans des actions, on percevra au moins cette prime de risque pour éviter, en cas de chute des rentabilités, de se rediriger massivement vers des placements plus sécuritaire, rendant ainsi l’investissement dans les actions plus attractif.
Il s’agit d’un simple arbitrage.
De plus, on sait que la rentabilité moyenne sur le long terme de l’investissement boursier se situe aux alentours de 6 à 8%.
Certes ce rendement pourrait baisser, mais il restera toujours plus élevé qu’un livret bancaire.

Croissance = Rendement ?

Lorsqu’un marché déterminé est saturé et ne génère plus de réelle croissance, il continue d’avoir un business model pouvant générer du cash, ainsi l’entreprise peut décider de verser des dividendes.
Certes, les actions ne vont pas prendre énormément de valeur, mais les dividendes feront que l’on obtiendra malgré tout un retour sur investissement.

Certaines entreprises ont deux manières pour générer et octroyer un rendement :
-Soit en investissant dans des projets pour permettre à l’entreprise de croître au maximum,
-Soit en distribuant les bénéfices aux actionnaires sous forme de dividendes.

On pourrait donc imaginer un monde où il n’y a plus d’augmentation majeure du prix des actions, mais où l’on bénéficierait systématiquement de dividendes. C’est pourquoi on pourrait considérer que la bourse continuerait de monter, raison pour laquelle, il est important de ne pas tomber dans le piège des graphiques qui prennent en compte ou qui excluent les dividendes

Par exemple, le CAC40 présente des courbes très différentes selon la prise en compte ou non des dividendes, comme on l’observe sur ce graphique :

Attention au type de rentabilité

Pour conclure dans l’avenir, les actions pourraient générer des rendements plus faibles, c’est pourtant la classe d’actif la plus rentable sur le long terme et ce, devant n’importe quelle autre catégorie.

Il ne faut également pas oublier que, même si l’on pourrait imaginer que les rendements des actions seront moins élevés demain que par le passé, en raison notamment de la diminution progressive de la croissance économique mondiale depuis un certain nombre d’années, cela ne signifie pas, qu’il n’y aura plus de croissance, ni même que tu gagneras moins d’argent avec les actions, car il ne faut pas oublier que le taux d’inflation est actuellement historiquement bas et que pour mesurer notre rendement avec un investissement, nous devons y soustraire l’inflation pour obtenir le rendement réel.

Si, dans le passé, la bourse nous octroyait 8% de rentabilité mais que l’inflation était de 4%, le rendement réel était d’environ 4%.
Si aujourd’hui en revanche, on obtient du 5% sur les marchés boursiers internationaux et que l’inflation n’est que de 1%, le rendement réel est toujours de 4%.

Logiquement, on pourrait avoir l’impression que notre rentabilité est inférieure, mais étant donné que l’inflation est plus faible, la rentabilité pourrait être la même.

Quels actifs acheter ? Quels business devrais-tu monter ? Comment vérifier la viabilité d'un projet ?
Vous êtes nombreux à nous poser ce type de questions.

Pour compléter nos nombreux contenus traitant ce sujet, notamment la vidéo où nous te présentons les systèmes CRT et LRR, que nous te recommandons de visualiser si ça n'est pas encore fait, nous te présentons aujourd'hui des formules très simples et faciles à appliquer afin de vérifier la rentabilité de ton investissement.

On pourrait croire qu'il est très complexe de calculer des gains potentiels, alors qu'on peut adopter des méthodes simples grâce à ces 5 formules utilisées par les investisseurs professionnels.

1) La Richesse dans le temps

Cette première formule est basique.
Il s’agit de calculer simplement la richesse réelle d’une personne.
En effet, nous le répétons sans cesse (et pourtant 99% des personnes n’en ont pas conscience), la richesse d’un individu ne se détermine pas en comptant l’argent ou les objets qu’il possède, mais en fonction du temps de liberté qu'il détient. Le temps libre est un luxe qu'on obtient en étant riche et indépendant financièrement.

Attention, on considère ici les personnes pouvant vivre sans emploi juste de ses épargnes, ses investissements et ses prévoyances. Ainsi, si tu souhaites connaître ton niveau de richesse, tu dois appliquer cette formule :

« Actifs liquides divisé par dépenses mensuels le tout divisé par 12 ».


EXEMPLE 1 : Imaginons une personne qui a un train de vie opulent, qui possède une voiture de sport, une grande maison et ses dépenses s’élèvent à environ 10 000€ par mois.
Concernant ses actifs liquides, elle possède au total 120 000€ provenant de son argent épargné, ses actifs financiers et ses rentes mensuelles.

Ainsi si l’on divise 120 000 (d’épargne) par 10 000 (de frais) ce qui équivaut à 10, que l’on divise à nouveau par 12, cela donne 1.

Autrement dit, cette personne ne tiendrait qu’un an avec ce qu’elle possède et sans travailler.

EXEMPLE 2 : En revanche, imaginons une personne avec un train de vie plutôt modeste, qui a des dépenses mensuelles de l’ordre de 900€ émanant de ses frais de logement, loyer ou crédit, de voitures, essence, assurance, alimentation.
Elle détient des actifs liquides provenant de son épargne en banque, des actions ainsi que des actifs financiers, pour un total de 54 000€.

On divise alors 54.000€ (d’épargne) par 900 € (de frais) ce qui donne 60, divisé à son tour par 12, soit 5.

Autrement dit, cette personne survivrait 5 ans sans avoir à travailler.

2) Le potentiel de liberté financière

Cette deuxième formule est en relation directe avec la première, et vient la compléter.

Afin d’atteindre la liberté financière, tu dois être en possession d’actifs ou d’un business qui te procure des revenus passifs, en somme : tu fournis un travail en amont et une fois ce travail d'installation effectué, cette action va te permettre de générer de l’argent automatiquement sans y consacrer plus d'efforts ou de temps.

La formule suivante déterminera ton niveau sur cette échelle.
Elle est, encore une fois, très simple : il s’agit de diviser tes revenus financiers, (c’est-à-dire ceux provenant entièrement de revenus passifs, tels que rentes locatives, dividendes, intérêts d’obligation, etc.) divisé par la totalité de tes revenus actifs (c’est-à-dire provenant du fruit de ton travail).
Le résultat sera multiplié par 100.

Cette formule va t'aider à identifier ton degré de dépendance à ton travail, mais aussi à connaître très rapidement le pourcentage de tes revenus passifs.

Prenons le cas d’un propriétaire qui loue son appartement à 300€ par mois, soit 300€ de rente nette mensuelle. Il travaille également et perçoit 1.500€ de revenu net mensuel.

On va diviser 300€ par 1.500€ ce qui représente 0,2 que l’on multiplie par 100, ce qui donne 20%. Cela signifie que nos revenus passifs représentent 20% de nos revenus actifs. Par conséquent, les 80% représentent notre taux de dépendance à notre revenu salarial.

L’objectif est donc de réduire, petit à petit cet écart, en vue de parvenir à 100% de revenus passifs ce qui suppose que l’on gagne 1.500€ de revenus passifs et 1.500€ de revenus actifs.

Si tes revenus passifs totalisent environ 90% de tes revenus actifs et que tes dépenses ne dépassent pas tes rentrées d’argent, alors tu peux envisager de renoncer à ton travail et réaliser un business ou un projet dans le but de développer tes revenus passifs.

3) Le Price Earning Ratio = PER

Imaginons que tu souhaites acheter deux biens immobiliers dont le premier est localisé dans un quartier populaire pour un coût de 100 000€ et le deuxième bien, affiché à 500 000€ et situé dans un quartier huppé.

Sur lequel des deux ton choix va t’il se porter pour faire des bénéfices ?

Il est fort probable que tu optes pour le bien le moins cher, ce qui est logique.
Cependant on va démontrer, qu’en réalité, celui à 500 000€ est bien plus rentable malgré son prix plus élevé à l’achat, que celui à 100 000€ qui est bien moins cher.

En fait, avant d’investir et savoir si un bien immobilier peut être un bon investissement, il est impératif de calculer le PER ou Price Earning Ratio. Cette formule est également largement utilisée en bourse pour repérer les bonnes ou mauvaises opportunités d’achat d’actions.
Ainsi, il te suffit de diviser le cours de l’action par son bénéfice net par action. Le résultat, te permet de savoir si celle-ci est onéreuse ou bon marché.

Ici, toutefois, il s’agit d'appliquer le PER à l’investissement immobilier en fonction du loyer locatif, ce qui va déterminer le nombre d’années nécessaires avant de pouvoir récupérer l'investissement initial.

Pour ce faire, nous divisons le prix du bien immobilier par le loyer annuel.
Le résultat nous indiquera donc le nombre d’années nécessaire pour récupérer la totalité du placement.

  1. Pour reprendre l’exemple précédent et l’expliquer, il faut supposer que la maison à 100 000€, nous octroie un bénéfice annuel de 6 000€, en le louant 500€ par mois.
    Nous divisons donc 100 000€ par 6 000€ ce qui équivaut à 16,67, c’est à dire que l’on récupèrerait notre investissement de départ dans un délai d'environ 17 ans.
  2. En revanche, la maison à 1 demi-million, concède un bénéfice annuel de 48 000€, en le louant 4 000€ par mois. En divisant 500 000€ par 48 000€ l’on obtient 10,42, ce qui signifie que nous aurions récupéré notre investissement initial en presque 10 ans 1/2.

Aussi, ce calcul démontre de façon indéniable, la meilleure rentabilité d’un investissement immobilier et dans le présent cas, il s’agit de la maison à 1 demi-million d’euros, qui, à la location, est bien plus rentable que celle à 100 000€.

Un autre moyen astucieux de déterminer la rentabilité potentielle d'un investissement est de calculer le PER moyen des différentes zones ou quartiers qui t’intéressent pour investir en immobilier. Pour ce faire, il te suffit de connaître le prix moyen de l’immobilier de la zone, et son prix moyen locatif annuel. Effectuer cette division te permettra d’analyser judicieusement et en tout état de cause, si le bien que tu souhaites acquérir est au bon prix par rapport au marché. Tu pourras appliquer la même formule, en fonction du prix du mètre carré, de la zone, la ville et ainsi de suite.
Bien évidemment le PER peut s’appliquer à n’importe quel actif, allant des actions aux investissements immobilier en passant par les produits dérivés ou encore les obligations.

4) Taux de Variation (Gains/Pertes)

Cette quatrième formule se figure de la manière suivante :

((N-1 - N)/N-1)X100 où N est égal à l’année.

Elle est tout aussi utile et efficace que les précédentes et une fois maîtrisée, elle te permettra de différencier les gains ou pertes qui découlent d’un investissement et le taux de variation du prix entre deux périodes dans le temps.

La méthode est simple toutefois, il faut bien suivre et appliquer cette règle : soustraire le prix actuel de l’actif en ta possession par le prix de l’actif lors de l’acquisition, le tout divisé par le prix d’acquisition, le résultat sera ensuite multiplié par 100.

Prenons l’exemple d’un achat d’or effectué il y 1 an, au prix de 2 000€; aujourd’hui son prix est évalué à 2 500€. Pour connaître le pourcentage du gain en 1 an, il faut soustraire 2 500, le prix actuel, par 2 000, le prix d’achat, le tout divisé par 2 000, toujours le prix d’achat, ce qui est égal à 0,25, qui, multiplié par 100, donne 25%.

On peut ainsi conclure qu'en l’espace d’une année, le prix de cet or a augmenté de 25%.
Si le résultat avait été négatif, on aurait interprété une perte d'un certain pourcentage sur le prix.

5) Ratio d’effet de levier / taux d'endettement

Cette dernière formule te permet de savoir s’il t’est possible de t’endetter un peu plus.
Comme tu le sais, dans ta quête de la liberté financière, toutes les dettes ne se valent pas.
En effet, il existe de bonnes dettes qui vont t’aider à faire usage de l’effet de levier financier et ainsi devenir Libre & Riche (si tu souhaites avoir plus d’information sur ce sujet, tu peux retrouver plus d'explication dans cet article).

Pour trouver le ratio, la formule est simple, il te suffit de diviser la somme de tes dettes par tes revenus.

Admettons que tu souhaites acheter un nouveau bien immobilier, mais tu es déjà endetté et souhaites savoir si tu seras capable de supporter une nouvelle dette mensuelle, et en retirer du cash-flow.

Pour ce faire, tu vas regrouper l’ensemble de tes dettes présentes et potentielles dans le cas où tu contractes un nouveau crédit, que tu diviseras par l’ensemble de tes revenus qu’ils soient actifs ou passifs, auxquels tu rajouteras le loyer que tu espères obtenir de ta future location immobilière, le tout multiplié par 100.

Plus concrètement : supposons que tu gagnes 2 000€ par mois incluant ton salaire et une rente d’un appartement que tu possèdes, dont le crédit contracté s’élève à 400€/par mois et tu souhaites t’endetter à nouveau pour l’acquisition d’un autre bien. Ce nouvel emprunt supposera 400€ de frais mensuels supplémentaires, toutefois en le louant il t’en rapportera potentiellement 500.
Nous ajoutons ces potentiels 500€ aux 2 000€ dans la partie des revenus, ce qui donne un total de 2 500€ et dans la partie dépenses, 400€ du précédent prêt aux 400€ du nouveau, soit un total de 800€.
Pour trouver le ratio, il suffit de diviser 800 par 2 500, ce qui donne 0,32 que l’on multiplie par 100, ce qui est égal à 32%, représentant le taux d’endettement.

Aussi, dans le cas où tu souhaites contracter un nouveau prêt bancaire pour l’achat d’un nouvel appartement à visée locative, tu t’endetterais à hauteur de 32%, tout en le louant.
Il est important de considérer que, généralement, une banque accepte de prêter à hauteur de 33% maximum. Si tu respectes ce taux d’endettement, et si ton projet est solide, tu peux envisager de le mener à bien.

Ces formules te donnent quelques premiers outils de base pour commencer à étudier sérieusement tes possibilités d'investissement. Si tu veux aller plus loin, tu peux par exemple envisager une des formations LIBRE & RICHE en Finance & Investissement ou en Stratégie Immobilière.

A 20, 30 ou 40 ans, les problématiques de placement ne sont pas les mêmes.
Maximiser son potentiel de gain pendant la phase d’épargne, puis stabiliser son placement à l’approche de l’objectif semble être la meilleure stratégie. En somme, mieux vaut investir tôt, même des petites sommes. 

Aussi ayant pour mission de t’aider à atteindre la liberté financière, nous allons te donner des conseils et techniques avisés pour que tu saches déceler les dangers et pièges qui t’attendent au tournant. 

1) Les erreurs financières à éviter à 20 ans

À 20 ans, on se sent invulnérable et on a envie de conquérir le monde.
C’est souvent durant cette période que l’on obtient son premier emploi, ses premiers salaires mais qu'on commet aussi les inévitables premières erreurs financières, puisque peu expérimenté pour affronter certaines situations critiques et peu éclairé face à l’épargne.
L’avantage à 20 ans c’est que tu peux vivre, encore chez tes parents, ainsi tu n’as pas forcément de dépenses relatives au logement et charges afférentes; tu peux dans cette situation disposer intégralement de ton salaire, qui te donne "le droit", selon toi, de t’offrir ce qu’il y a de mieux.
Partant de ce constat, et si tu adoptes de bonnes habitudes et appliques les bonnes consignes, tu as de très fortes chances d’être confortablement installé à 30 ans; de quoi charger de motivation ta vie future.

Erreur financière N°1 : "Tout claquer dans un signe extérieur de richesse"

À 20 ans, la première erreur à ne surtout pas commettre, est d'acheter une voiture à un coût élevé, bien au-dessus de tes moyens, type voiture de sport, ou de marque réputée, juste pour épater la galerie.
S’il est vrai qu’une auto offre liberté et indépendance, elle ne doit pas représenter une charge financière trop lourde à supporter, et il faut éviter de contracter un crédit auto que ce soit pour un véhicule neuf ou d'occasion. Garde en tête qu'au delà de la dépense pour l'achat même, vont s’ajouter les frais d’entretien, l'assurance, le carburant généralement élevé, surtout que la voiture ne sera pas seulement utiliser pour les aller-retour vers ton lieu de travail mais aussi pour les sorties et autres divertissements, autant de frais récurrents qui vont venir amputer ton salaire mensuel. Cette erreur hélas, est très souvent commise par de nombreux  jeunes.
Prenons un exemple avec chiffres à l’appui :
Imagine que tu achètes une voiture neuve qui vaut 20 000€ financée sur 5 ans avec un intérêt de 1% réalisé avec un emprunt étudiant, par exemple.
On ajoute le carburant, lié aux déplacements professionnels mais aussi personnels, soit approximativement 120€ par mois, plus les frais d’assurance tout risque pour une auto neuve, soit environ 40€ par mois, auxquels s'ajoutent environ 300€ à l'année de réparation et autres imprévus. Autrement dit, l’on peut légitimement considérer que tu vas dépenser 527€ tous les mois, c’est-à-dire l’équivalent de 38% de ton salaire en partant sur une base de 1 400€ net par mois.
En revanche, si tu conviens qu’il est plus judicieux d’utiliser les transports en commun qui te couterons approximativement 200€ à l'année, tu pourras investir ces frais économisés, soit 6 122€ par an, sur une période de 5 ans avec une rentabilité moyenne de 4%, ce qui te permettra de cumuler près de 34 500€.
Si l’on rallonge cette période à 10 ans, l’on atteint près de 76 500€ ! En 5 ans supplémentaires, tu doubles ton capital. Comme tu peux le constater, le pouvoir des intérêts composés est considérable ainsi tu dois prendre conscience, que chaque dépense, chaque gaspillage d’argent, te pénalise fortement et qu'il t'appartient de gérer ton budget plus raisonnablement, par des achats moins onéreux, tout aussi convenable.
D’où l’intérêt de saisir ce coût d’opportunité en investissant intelligemment. Les sommes dépensées te permettant de vivre au-dessus de tes moyens, en achetant une voiture par exemple, sont celles que te n’investiras pas afin de te permettre de prospérer sur le long terme.
Ne vaut-il pas mieux célébrer tes 30 ans en ayant commencé à construire un portefeuille de valeurs qui te génèrent des bénéfices et des dividendes, plutôt que d’être endetté à cause d’une voiture qui se déprécie d’année en année ? 

Ne te précipite pas pour "voler de tes propres ailes"

Les jeunes de 20ans veulent à tout prix "voler de leurs propres ailes" parfois au détriment de la raison, c'est l'origine de la deuxième erreur.
Combien sont partis puis revenus quelques mois après chez leurs parents quand il se sont retrouvés dans l’impossibilité d’assumer des frais trop lourds.
C'est pourquoi quand cela est possible, il ne faut pas exclure trop vite l'aubaine que représente resster vivre chez ses parents. Ne pas continuer à vivre dans le cocon familiale moyennant, par exemple, une petite contribution financière, quand on en a l'opportunité est une grossière erreur.
En effet, en restant vivre chez tes parents, tu peux en profiter pour épargner puisque tes dépenses sont bien moins importantes que si tu vivais seul dans un appartement. Tu bénéficies de revenus que tu économises et t'offres la possibilité de placer judicieusement afin d’investir. Tu mets à profit tes premières années pour adopter de bonnes habitudes financières.
A ce sujet, Robert Kiyosaki, célèbre entrepreneur américain, dont la fortune personnelle est estimée à environ 80 millions de dollars, conseille de ne surtout pas quitter la maison de ses parents, avant de détenir au moins, un ou deux actifs, qui génèrent des dividendes. C’est la raison pour laquelle nous te conseillons de rester chez ta famille tant que possible, ce qui te laisse le temps de te constituer un matelas financier qui te sécurisera.
Ce choix te concède la sécurité du gite et du couvert que les parents offrent à leur enfant. Toutefois tes parents ne seront pas toujours là pour t’aider, d’où l’intérêt de ne pas hésiter à faire des investissements plus risqués à 20 ans car ces années protégées ne reviendront jamais. À cet âge, le seul souci doit être d'acquérir de bonnes habitudes financières et de développer l'habitude d'épargner et d'investir. 

Erreur financière n°3 : S'endetter pour satisfaire un achat compulsif

L’une des erreurs récurrentes chez les jeunes de 20 ans consiste à s’endetter pour acheter le dernier smartphone à la mode avec des prêts à intérêt, ou des vêtements de marque superflus, qui une fois possédés, qui viennent alimentés une armoire déjà bien inutilement remplie, soit pour s’offrir des vacances de rêve ou des sorties grands standing. Se condamner à ce genre de dettes pour des plaisirs frivoles est une erreur fatale, qui risque de t'entraîner très jeune, dans le cercle infernal des découverts et problèmes bancaires ! 

À 20 ans, là où tu ne dois pas hésiter à investir, par contre, c'est dans ton éducation. Parce qu'investir dans ton éducation, c’est investir dans ton avenir et ton potentiel d'enrichissement, et c’est là l’un des investissement les plus importants et judicieux que tu peux réaliser au cours de ta vie.

2) Les pièges financiers à déceler à 30 ans

La trentaine est souvent considérée comme une période bénie, un âge où tout est possible !
Tu possèdes une certaine maturité et tu es installé dans ta carrière, tu commences à dégager suffisamment de revenus pour pouvoir te constituer un petit matelas d’épargne, tu commences à "faire ton nid".
Toutefois malgré la maturité, à cet âge, on commet encore des erreurs, dont 4 sont récurrentes et contre lesquelles il est important se prémunir.

Erreur financière n°1 à 30 ans : hypothéquer pour acheter

La principale erreur financière à la trentaine est d’hypothéquer son bien pour acheter sa résidence principale sur le long terme, et cela peut représenter un fardeau lourd de conséquences.
En effet, un fort endettement à rembourser ne te permettra jamais de prospérer financièrement. L'hypothèque classique de 100% à 35 ans peut s’avérer être l’une des plus grosses erreurs de ta vie. 

Penser qu'on est "trop jeune pour penser à la retraite"

La seconde erreur financière typique des trentenaires, est de s’estimer trop jeune pour planifier sa retraite. Le temps passe vite et, comme dans la fable de La Fontaine « la Cigale et la Fourmi », si tu ne prépares pas l’avenir, tu te trouveras fort dépourvu lorsque les jours difficiles surviendront.
Comme évoque dans nos différents contenus, la sécurité sociale est un système pyramidale, or, si le nombre de cotisants diminue trop par rapport au nombre de retraités, tout s'effondre. Raison pour laquelle, il faut prévoir l’avenir très tôt de façon à toujours être indépendamment installé. Ainsi, il n’est jamais trop tôt pour économiser. Prends au sérieux ton avenir et commence à cotiser régulièrement. La bonne nouvelle est qu'il existe des produits financiers performants ainsi que, dans certains pays, des régimes de retraite dont les avantages fiscaux sont intéressants. Nous te recommandons grandement, de réaliser des prélèvements automatiques périodiques dans des ETF à long terme comme nous en avions parlé dans une vidéo précédente. N'hésite pas à voir avec ton entreprise si celle-ci ne propose pas de plan d'épargne retraite afin de bénéficier d'avantages fiscaux également. 

Et trop jeune pour se prémunir contre les aléas de la vie

On peut se méprendre, à se penser trop jeune -ou même immortel- pour contracter, par exemple, une assurance-vie pour transmettre son patrimoine dans des conditions fiscale avantageuses et au moins une assurance décès qui versera un capital ou une rente aux bénéficiaire dans le cas de ton décès. Tu pourras ainsi protéger ta famille, et les années passants, il est dans ton intérêt et celui de ta famille, de prévoir "une poire pour la soif"

Mais trop vieux pour continuer à apprendre

La quatrième et dernière erreur qui peut surprendre est de t’estimer trop vieux pour consacrer une partie de ton capital dans ta propre formation.
En effet, à 30 ans, après avoir obtenu des diplômes ou une formation, on néglige la poursuite de l’apprentissage et l’acquisition de connaissances qui permettent au cerveau d’être toujours performant et d'augmenter notre valeur sur le marché du travail ou notre potentiel d'entreprenariat.
Ces compétences vont aussi t’être nécessaires, si dans un futur plus ou moins proche, tu souhaites changer d’orientation professionnelle.
Nous te conseillons donc, de dédier une partie de tes ressources financières, par le biais d’un compte qui lui est propre, pour assister à des conférences, réaliser des séminaires ou encore acheter des livres. Chez LIBRE & RICHE, nous proposons aussi plusieurs formations pour augmenter tes chances d'atteindre la liberté financière ou de créer ta propre entreprise.
Au final comme à 20 ans, ton éducation n'est jamais une dépense, mais un investissement dans tous les sens du terme. 

3) Finance et investissement : les erreurs fatales à 40 ans

A l’approche de la quarantaine, la carrière progresse et la capacité d’épargne aussi.
N'oublions pas cependant que nous courons un marathon et non un sprint ! Ainsi à 40 ans, il faut non seulement continuer à construire le travail de planification financière de nos 20 ans et de nos 30 ans, mais aussi potentiellement veiller à l’éducation, la scolarité des enfants, la capitalisation et sa propre retraite. C’est le début de la diversification patrimoniale et l’étude des diverses opportunités qu’offrent les marchés financiers, tels que les plan d’épargne en action, assurance-vie, placement de long terme, la bourse, les ETF

Erreur financière n°1 à 40 ans

L’erreur principale commise par les quadragénaires est d’acheter une résidence secondaire quand bien même le prêt de la demeure principale est toujours effectif.
Par exemple, acquérir une maison au bord de mer en vue d’y passer les vacances d’été ou les week-ends, peut être tentant, mais cet achat va engendrer inévitablement des frais supplémentaires.
En effet, les taxes, les assurances, les charges liées à l’eau, l’électricité, internet vont être multipliés par 2 mais surtout un autre prêt bancaire va s’ajouter à celui déjà existant.
Ce sont autant de risques pour ton pouvoir d’achat, ton économie. Par contre, si tu choisis de louer ta résidence secondaire, tu peux peut-être, espérer en tirer quelques avantages, à condition d’accepter de laisser ta maison à des vacanciers, et de planifier rigoureusement l’opération en calculant les dépenses et évaluer s’il n’est pas plus judicieux d’investir cet argent, dans des placements bien plus rentables, et bien moins stressant, pour anticiper ta retraite. 

L'excès de confiance face aux risques

Fréquemment, le quadragénaire, devenu trop sûr de lui, a tendance à s'exposer plus facilement aux risques liés aux investissements financiers. Cet excès de confiance est à surveiller à 40 ans, il peut être judicieux de s'entourer d'un conseiller en investissement financier ou un Conseiller en Gestion de Patrimoine. Au fur et à mesure, il te faut mieux planifier tes investissements et éviter absolument les erreurs financières qui peuvent entrainer des désagréments longs à réparer et t'être fatal. Tu devras forcément considérer d'investir dans des actifs moins risqués qu'auparavant. Un expert en la matière pourra donc t'indiquer si tu utilises mal ton argent, il sera en mesure d'orienter au mieux tes investissement et t'aider à optimiser ta fiscalité. 

Erreur classique n°3 : le manque d'anticipation budgétaire

À 40 ans, le manque d’anticipation budgétaire est encore une erreur très courante, malgré l'expérience et la maturité. Par exemple, si tu as des enfants, tu sais que les dépenses vont être proportionnelles à leur période de croissance et que les frais augmenteront aussi au fur et à mesure des années.
Au delà de ton propre budget, tu vas devoir assumer leurs dépenses scolaires, alimentaires et bien plus encore, pour soutenir leur démarrage dans la vie active, s’ils décident de rester au domicile après 20 ans afin de faire des économises.
D’après l’institut de recherches économiques et sociales l’IRES, ces dépenses représenteraient un coût de 9000€ par an en moyenne, par enfant de moins de 20 ans, soit 750 euros par mois. Ainsi la dépense monétaire engagée par les parents pour « produire » un enfant et l’amener à ses 20 ans, s’élève en moyenne à environ 180 000 euros ce qui correspond en 20 années à 9000 euros par an.
Le but n'est pas ici de décourager les futurs parents mais par souci de transparence, il est dans ton intérêt, de prévoir tous les frais futurs pour mieux les appréhender et évidemment avoir des enfants de manière responsable, pas trop tôt, mais lorsque tu auras une certaine stabilité financière et professionnelle au risque de condamner plus de 20 ans de prospérité financière. 

Erreur finale à 40 ans : ne pas évoluer

Finalement la dernière erreur serait de ne pas envisager de créer sa propre entreprise ou développer un business fructueux, car à 40 ans on a, non seulement validé des domaines de compétences et on a l’expérience professionnelle, mais on a souvent aussi du capital pour démarrer un projet. On a aussi cumulé les contacts et les connaissances qui viennent avantager ce type d'aventure.
À 40 ans donc, il faut sérieusement envisager, si ce n'est pas déjà fait, de tirer parti de son expérience au travers d'un business pour ne pas stagner et mettre à profit ses années de travail.

Aujourd’hui nous allons aborder un sujet, tiré du livre Père Riche, Père Pauve, du célèbre Robert Kiyosaki  intitulé « le Quadrant du Cashflow ». Il s’agit d’un graphique créé par l'auteur et entrepreneur permettant d’identifier les 4 différentes possibilités de gagner de l’argent dans notre société actuelle. 

Nous allons analyser en quoi consiste ce quadrant pour que tu puisses l’utiliser et améliorer ainsi ton éducation financière. Pour démarrer, il faut comprendre que le tracé de ce graphique se divise en 4 parties portant chacune une initiale : E, A, P et I.

quadrant-du-cashflow

1) E comme "Employé"

Tu peux bien être ingénieur, fonctionnaire ou encore serveur; peu importe, le secteur d’activité ou la rémunération, si tu as un temps de travail déterminé et un patron, tu es un employé.
Dans cette partie du quadrant, généralement l’employé perçoit un salaire à la fin du mois, il travaille pour une autre personne et, en principe, gagne toujours le même revenu indépendamment des bénéfices que génère l’entreprise. 
Pour les personnes qui se situent dans cette catégorie, les salaires sont immuables, il leur faudra donc travailler plus ou faire des heures supplémentaires, pour gagner plus.

Elles se retrouvent donc acculées à l’incertitude des lendemains, économiquement parlant, mais préfèrent toutefois, se résigner à la sécurité de l’emploi, au détriment du salaire. Ainsi, les personnes qui se trouvent dans cette partie ne travaillent pas pour gagner, mais plutôt pour ne pas perdre.

2) A comme "Autonome"

On évoque ici l’employé Autonome, autrement dit une personne indépendante. Cette catégorie est surement, la pire de toutes et tu vas vite comprendre pourquoi.

Être son propre patron semble, à priori, représenter un avantage considérable.
Certes, Il n’y a pas de supérieur pour donner des ordres et on peux gérer notre planning, tout seul, MAIS, non seulement il faut être super organisé et rigoureux dans la gestion de son temps, et surtout, savoir gérer son activité et et BIEN, puisque de grosses responsabilités s’ajoutent à l’activité déclarée. 

En effet, l’auto entrepreneur, s’il est , par exemple, contraint de s’arrêter de travailler pour maladie, n’a droit à aucunes aides de l’état et ne percevra aucun salaire.

Pour toutes ses raisons, bien souvent, il n‘a pas le choix que de continuer son activité, coute que coute et s’il veut gagner plus, il doit aussi travailler plus, ce qui provoque souvent des dépressions et des situations désespérées, ainsi que des complications médicales puisqu’il n’a pas pu prendre le temps de se soigner. Ces accumulations peuvent, malheureusement, le pousser à l’abandon voir la ruine dans le pire des cas.

Le dernier aspect a assimiler à propos du travailleur indépendant, est que, tout comme l’employé, il échange son temps contre de l’argent.

3) P comme "Propriétaire"

On envisage ici le P pour Propriétaire d’une entreprise dans le sens de chef d’entreprise qui dirige des employés.

Les avantages des gens qui se situent dans cette partie du Quadrant du Cashflow sont :

  • La liberté de décision
  • Des revenus décuplés
  • Un train de vie confortable
  • La motivation de se lever le matin
  • La fierté de travailler pour soi-même et d'offrir du travail aux autres
  • La liberté de vendre les produit ou le service de son choix au plus proche de ses aspirations

Le Propriétaire (d'un Business) est à la tête d’une infrastructure, d’employés et de machineries et si un jour, il ne souhaite ou ne peut pas travailler, il sait que l’entreprise continue de fonctionner sans lui.

Le profil d’un gérant d’une entreprise et à l’opposé de celui d’un indépendant. Il base principalement son activité dans la délégation des tâches et s’entoure de personnes qui travaillent pour lui. 

Sachant, toutefois que même s’il peut déléguer certaines tâches à des personnes compétentes et digne de confiance, son rôle reste stratégique, il doit être exemplaire et en mesure de motiver l’ensemble de son personnel. Il est un leader né !

4) I comme "Investisseur"

Terminons par la lettre I, celle de l’Investisseur.
Robert Kiosaki, auteur de Père Riche, Père Pauvre, explique que, peu importe dans quel quadrant est produit notre revenu, si on souhaite devenir riche, tôt ou tard, il faut s’intéresser au quadrant de l’investissement : c’est celui qui transforme l’argent en richesse ! 

Il faut aussi prendre en considération le facteur temps, dans notre calcul de la richesse.  En effet, la richesse d’une personne se détermine par le nombre de jours, de mois ou encore d’années dont celle-ci dispose pour pouvoir effectivement vivre sans travailler physiquement tout en maintenant, son niveau de vie actuel.  

Les investisseurs font de l’argent avec l’argent. Ils n’ont pas besoin de travailler, l’argent travaille pour eux !

4) Te situer sur le Quadrant du Cashflow

Pour utiliser ce Quadrant du Cashflow, le premier pas consiste à identifier la partie dans laquelle tu te trouves afin de choisir celle depuis laquelle, tu souhaites tirer ton revenu principal, même s’il est possible d’être présent dans plusieurs quadrants à la fois.

En fin de compte, la partie de gauche du Quadrant cherche la "sécurité", alors que la partie de droite cherche la "liberté" financière

Je parle de "sécurité" mais vivre d’un salaire est une attitude relativement téméraire, d’autant plus de nos jours où un salaire est présent aujourd’hui mais peut disparaître du jour au lendemain. L’inconvénient de la partie gauche est que la génération de richesse dépend directement de notre travail. Les revenus y sont soit linéaires dans un cas, soit aléatoires dans l’autre. Il s’agit de ce que l’on appelle un revenu actif. Avec pour seule solution, pour espérer gagner plus, de travailler plus ou plus longtemps. Sachant que les jours sont composés de 24 heures, le temps est lui-même est un facteur limitant afin de pouvoir augmenter tes revenus.

C’est pourquoi, il est recommandé de s’intéresser à la partie du Quadrant située à droite : le P et le 8 ! C’est ici que l’on peut générer des revenus passifs et exponentiels, c’est-à-dire que l’on peut gagner de l’argent indépendamment du fait que l’on travaille ou pas !

Afin de construire sa liberté financière, Robert Kiyosaki conseille d’apprendre à générer du cash à partir d’au moins 2 quadrants. Le parcours logique d’une personne qui possède une bonne éducation financière serait de passer du quadrant E au A, du quadrant A au B et enfin du B au quadrant I. 



Si tu considères bien ce quadrant du cash-flow, on peut le comparer à la chaîne alimentaire où les plus gros mangent les plus petits : chaque quadrant s’alimente du quadrant antérieur.

Par exemple :

  • Une personne qui se situe dans la partie E est souvent soucieuse car elle n’a que son unique revenu pour régler ses factures, ses crédits ou tout simplement ses dépenses du quotidien; une situation qui la place dans une position inconfortable due aux problèmes d’argent qu’elle peut rencontrer. 
  • Une personne qui se place dans le quadrant A est constamment préoccupée par la recherche des clients et donc de travail, puisque si elle ne travaille pas, elle n’a pas de salaire : elle est, certes, son propre patron mais sans avoir réellement une entreprise. En cas de fortes demandes, elle peut éventuellement embaucher un employé et donc s’alimente du quadrant E.
  • Maintenant une personne qui vit dans le quadrant P. Elle est plus détendue car si elle rencontre un souci, ils ne sont pas liés à l’argent. Le chef d’entreprise délègue presque toutes ses tâches et ses responsabilités aux employés qu’il ou elle a rigoureusement choisi, et s’il ou elle souhaite prendre une journée de repos, il ou elle sait que son entreprise fonctionne durant son absence. Le patron, pour utiliser cette métaphore, s’alimente d’employés et n’hésite pas à externaliser une partie son activité, en sous-traitant auprès des indépendants (auto-employés).``
  • Enfin, le ROI de la chaine alimentaire, reste celui de la partie I : l’investisseur ! Pour être performant, il doit disposer de qualités propres d’analyse et de sélection des opportunités qui lui sont présentées, afin des choisir, en connaissance de cause, celles qui sont le plus appropriées à sa situation. Un bon investisseur est le gestionnaire avisé de son épargne et s’inscrit en général dans la durée en vue de gérer son patrimoine. Ainsi, Il est en mesure de faire prospérer les sociétés dont il va percevoir en retour un bénéfice, qui elles-mêmes vont offrir des emplois aux individus qui se trouvent dans les quadrants  A et  E.